choix masculin
Responsabilités
et les droits de l'homme
Pour la femme le "bon choix à
l'avortement» et que les femmes représentent l'idée
est, pour dire le moins, les hommes coupables la plupart d'entre eux au pouvoir, la politique, l'économie et la justice.
Mais la culpabilité de la maman et le papa de l'avortement dans la première rangée, sur la ligne de front de la bataille morale sociale. Il est vain de persuader les femmes et les rendre, et de ne pas demander pères d'enfants à naître là où ils sont, où ils ont disparu et ils ne sont pas pervertis satanistes ou quelque chose.
Beaucoup d'hommes sont fiers de leur masculinité. En particulier, nous sommes fiers d'avoir l'organe reproducteur mâle. Qu'aucune femme, que leur part connu et aimé du corps n'aurait absolument aucun sens.
Culte tels existé depuis des temps immémoriaux dans les religions naturellement superstitieux de l'histoire.
Solliciter un homme de ne pas commettre l'avortement ne semble pas mûr même si la salle d'accouchement comme apparaissent comme une partie inséparable de la famille qui est juste là, sur place, multipliant heureusement. Après avoir suivi un divorce. Donc, il serait plus facile la première femme à obtenir un divorce de son enfer et puis la paix de Dieu pour élever un enfant.
C'est une femme doit être qu'elle aimerait avoir un enfant, et fait avorter?
L'avortement nécessite suis le père de l'enfant, c'est la seule réponse correcte. Par conséquent, il est vraiment pression sur les femmes pour avorter sans signification, même si elle était de bonne foi. La femme est la part de l'homme, c'est sa famille, et si quelqu'un a besoin de chasser et si quelqu'un a besoin d'exercer une pression, pour être le père de l'enfant à naître. Sur leur tombe la responsabilité principalement des femmes peuvent éviter l'avortement si elle n'est pas sous pression pour faire les choses en grand.
est, pour dire le moins, les hommes coupables la plupart d'entre eux au pouvoir, la politique, l'économie et la justice.
Mais la culpabilité de la maman et le papa de l'avortement dans la première rangée, sur la ligne de front de la bataille morale sociale. Il est vain de persuader les femmes et les rendre, et de ne pas demander pères d'enfants à naître là où ils sont, où ils ont disparu et ils ne sont pas pervertis satanistes ou quelque chose.
Beaucoup d'hommes sont fiers de leur masculinité. En particulier, nous sommes fiers d'avoir l'organe reproducteur mâle. Qu'aucune femme, que leur part connu et aimé du corps n'aurait absolument aucun sens.
Culte tels existé depuis des temps immémoriaux dans les religions naturellement superstitieux de l'histoire.
Solliciter un homme de ne pas commettre l'avortement ne semble pas mûr même si la salle d'accouchement comme apparaissent comme une partie inséparable de la famille qui est juste là, sur place, multipliant heureusement. Après avoir suivi un divorce. Donc, il serait plus facile la première femme à obtenir un divorce de son enfer et puis la paix de Dieu pour élever un enfant.
C'est une femme doit être qu'elle aimerait avoir un enfant, et fait avorter?
L'avortement nécessite suis le père de l'enfant, c'est la seule réponse correcte. Par conséquent, il est vraiment pression sur les femmes pour avorter sans signification, même si elle était de bonne foi. La femme est la part de l'homme, c'est sa famille, et si quelqu'un a besoin de chasser et si quelqu'un a besoin d'exercer une pression, pour être le père de l'enfant à naître. Sur leur tombe la responsabilité principalement des femmes peuvent éviter l'avortement si elle n'est pas sous pression pour faire les choses en grand.
Odgovornosti i prava muškaraca
Da se ženi daje “pravo izbora na abortus” i da žene
zastupaju tu ideju
jest, najblaže rečeno, krivnja muškaraca kojih je većina na
vlasti, u politici, ekonomiji i pravosuđu.
No, krivnja za abortus je mamina i tatina u prvom redu, na
prvoj crti moralnoga društvenog bojišta.
Uzalud je nagovarati žene i upućivati ih, a ne pitati očeve nerođene djece gdje
su, kamo su isparili i nisu li možda pervertiti u sotoniste ili slično.
Mnogi muškarci ponosni su na svoju muškost. Konkretno,
ponosni su što imaju muški reproduktivni organ. Da nema žena, taj njihov slavni
i obožavani dio tijela ne bi imao apsolutno nikakvog smisla.
Obožavanje takvo postoji od pamtivijeka u, naravno,
praznovjernim religijama u povijesti.
Nagovaranje muškarca da ne počini abortus nije, izgleda,
sazrelo iako se u rađaonicama vole pojavljivati kao nerazdvojni dio obitelji
koja se upravo tamo, na licu mjesta, sretno umnožava. Poslije slijedi razvod
braka. Zato bi bilo ženi jednostavnije prvo se razvesti od svoga vraga i onda
na miru Božijem odgajati dijete.
Koja to žena mora biti koja bi voljela oca djeteta, a
načinila abortus?
Abortus nalaže sam otac djeteta, to je jedini ispravan
odgovor. Prema tome, zaista je pritisak na žene koje abortiraju besmislen,
makar bio i u najboljoj namjeri. Žena je dio muškarca, on je njoj obitelj i ako
nekoga treba ganjati i ako na nekoga treba vršiti pritisak, to su očevi
nerođene djece. Na njih pada odgovornost uglavnom, žena može izbjeći abortus
ako nije pod pritiskom velikim da ga učini. 2409 635
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